Brioche as a pastry appeared in French texts as early as 1404; brioche as blunder began to be noted in texts around 1823.  In the book Le pont neuf : poëme héroïque et badin, en douze chants (1823) by Ad Tarbé and Levavasseur, a note explaining the word boulette in the verse “On chercherait en vain une boulette, / Que le bon Deshays n’eut pas faite” also mentions a new development of the word brioche:

L’usage depuis quelques années a donné une acception particulière aux mots brioche et boulette, qu’il ne faut pas cependant confondre ensemble, quoiqu’ils soient très-proche parens.  La boulette est une faute qui peut provenir d’un accident ou d’une distraction ; la brioche est presque toujours un témoignage d’ignorance ou de défaut d’organisation.  C’est surtout dans l’art musical que ces mots sont consacrés : on est encore dans le doute si Madame Damoreau fera quelque jour une boulette ; à coup sûr on n’aura jamais à lui reprocher une brioche.  En politique, il y a eu boulotte d’annoncer que la nationalité de la Pologne ne périrait pas : les ordonnances de Charles X, furent une énorme brioche. (27)

 

This usage of brioche was picked up by Jean Anthelme Brillat-Savarin (1755-1826) in his La Physiologie du goût (1826): in the section called “Méditation XXIX, La Gourmandise classique mise en action” a footnote mentions that in the music world “faire des brioches, c’est manquer un trait, une intonation” (209).  Etienne-Jean Delécluze (1781-1863), painter and art critic, takes note of brioche as “bévue” in 1826 in his Journal de Delécluze 1824-1828.  Soon enough, political cartoonists would make good use of this kind of brioche when commenting on Charles X (who reigned from 1824 to 1830) and Louis-Philippe I (reigning from 1830 to 1848).

 

The backstory of musicians and brioche, an “Acte sot ou maladroit” (Larchey 63), is given in the Dictionnaire historique, étymologique et anecdotique de l’argot parisien (1872):

Faire une brioche : « C’est faire une faute en musique, et par extension en quelque chose que ce soit.  Cette expression fut introduite à l’époque de la fondation de l’Opéra en France.  Les musiciens attachés à ce théâtre avaient imaginé de condamner à une amende pécuniaire celui d’entre eux qui manquerait aux règles de l’harmonie en exécutant sa partition, et le produit des amendes était destiné à l’achat d’une brioche qu’ils devaient manger ensemble dans une réunion où les amendes figuraient ayant chacun une petite image de ce gâteau suspendue à la boutonnière en guise de décoration.  Un tel usage ne fut pas jugé propre à les rendre moins fautifs dans leur art, et le grand nombre de repas qu’il amena ne fit pas concevoir une haute idée de leur talent.  Bientôt ils se virent exposés à la raillerie du public, qui prit le mot brioche pour synonyme de faute, bévue ; et l’amour-propre alors l’emportant sur la friandise, ils décidèrent qu’ils pourraient faire désormais autant de brioches qu’ils voudraient sans être obligés d’en payer aucune. » (63-64)

 

▀▄▀▄▀▄

 

In a political cartoon from 1830, a baker’s helper thinks that Charles X is quite foolish — one brioche (blunder) that Charles X has made is a law censoring the press, and another huge brioche is a law that restricts the merchant bourgeoisie from becoming candidates for the Chamber of Deputies.  Journalists defied him, of course, and many of his other ordinances were met with protests, which contributed to how quickly his reign ended that very year.  After the July Revolution, Charles X abdicated on August 2nd.

“Ce grand serin la, [sic] poura [sic] se vanter d’avoir fait de fameuses boulettes !…”, s’exclame un petit mitron en désignant du doigt son patron Charles X en train d’enfourner la boulette “Garde nationale” et la “dernière brioche de la Charte” : [estampe]. 1830. Bibliothèque nationale de France.

 

▀▄▀▄▀▄

 

Another cartoon from 1830 depicts Charles X as a pastry chef ready to serve his great brioches to the country.

Charles Joseph Travies de Villers (1804-1859). A la Renommée des fameuses brioches. Charlot, premier Pâtissier de la Cour : [estampe]. 1830. Bibliothèque nationale de France.

 

▀▄▀▄▀▄

 

Louis-Philippe I, who succeeded Charles X, was not spared by the press either.  In this cartoon from 1835 which appeared in Le Charivari, Louis-Philippe I is baking the many brioches that he has shaped.  A well-known blunder from 1834 was his choice of Hugues-Bernard Maret, duc de Bassano, as the person who would create a cabinet of ministers charged with taking care of foreign affairs, the interior, war, the navy, commerce, the judicial system, public education, finances: this cabinet lasted only three days.  He stayed on for a few more days and became known as “Le Ministère des Trois Jours.”

A la Renommée des Brioches, Chose Patissier : [estampe]. 1835. Bibliothèque nationale de France.

 

▀▄▀▄▀▄

 

In this cartoon from 1848, Louis-Philippe I no longer knows what he is doing after having made huge mistakes, and he abdicates.  A large brioche on the top shelf represents his clashes with the press — prosecuting over 400 newspapers by 1833, jailing and fining journalists and cartoonists, all despite the French constitution saying that censorship of the press is not allowed.

C’est ma dernière Brioche, car je ne sais plus ce que je fais depuis quelques jours mes Brioches sont si grosses qu’elles ne peuvent plus passer : [estampe]. 1848. Bibliothèque nationale de France.

 

▀▄▀▄▀▄

 

During the Crimean War (1853-1856), King Otto of Greece made the mistake of siding with the unsuccessful Russians against the British and French who were aiding Turkey.  In a French cartoon commenting on this situation, King Otto is not faring well with his piece of the brioche.

Charles Amédée de Noé, aka Cham (1818-1879). Le Roi Othon se fesant [sic] mal en voulant manger de la brioche [“Guerre d’Orient”] faite par l’Empereur de Russie : [estampe]. Bibliothèque nationale de France.

 

▀▄▀▄▀▄

 

 

References & Suggested Reading

 

 

Bibliothèque nationale (France). Cabinet des estampes. Collection de Vinck. Un siècle d’histoire de France par l’estampe, 1770-1871 : Collection de Vinck, inventaire analytique… Vol. 6. Bibliothèque nationale, 1979.

 

Brillat-Savarin, Jean Anthelme. La Physiologie du goût. Paris: Sautelet, 1826.

 

“Brioche.” Le Trésor de la langue Française informatisé, https://www.cnrtl.fr/definition/brioche . Accessed October 2018.

 

Dauzat, Albert. Le Français moderne, Volume 27. Paris: Éditions d’Artrey, 1959.

 

Delécluze, Etienne-Jean. Journal de Delécluze 1824-1828 : La vie parisienne sous la Restauration. Paris: Éd. B. Grasset, 1948.

 

Ernouf, Alfred-Auguste. Maret : Duc de Bassano. 2nd ed. Paris: E. Perrin, 1884.

 

Ingelhart, Louis Edward. Press Freedoms: A Descriptive Calendar of Concepts, Interpretations, Events, and Court Actions, from 4000 BC to the present. Greenwood Publishing Group, 1987.

 

Larchey, Lorédan. Dictionnaire historique, étymologique et anecdotique de l’argot parisien ; 6. éd. des Excentricités du langage mise à la hauteur des révolutions du jour. Paris: F. Polo, 1872.

 

Levavasseur and Ad Tarbé. Le pont neuf : poëme héroïque et badin, en douze chants. Paris: Les marchands de nouveautés, 1823.